ASAP Rocky : un demi million de personnes ont signé une pétition pour sa libération !

11 juillet 2019 à 18h43 par Bertrand Loppin

Les fans d'ASAP Rocky se mobilisent pour obtenir sa remise en liberté. Une pétition a été lancée. Ce jeudi, elle a dépassée le cap de 500 000 signatures. Les révélations du site tmz sur ses conditions de détention ne seraient pas étrangères à cette mobilisation massive.

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Crédit : ASAP Rocky

Depuis le 30 juin, ASAP Rocky est tombé dans les griffes de la justice suédoise. En garde à vue, il a ensuite été placé en détention provisoire suite à une rixe qui s’est déroulée dans les rues de Stockholm. Son avocat a décidé de faire appel de la décision prononçant son incarcération. La cour suprême de Suède a rejeté cette demande. ASAP Rocky restera donc en prison tout le temps de l’enquête pour une durée indéterminée mais qui ne devrait pas pouvoir excéder plus de 15 jours. 

Face à cette situation, les fans se mobilisent en mase. Une pétition en ligne a été lancée sur change.org. Elle explique qu’ASAP Rocky a agi en état de légitime défense et elle souligne qu’il est actuellement détenu dans des conditions inhumaines. Ces conditions de détention violeraient ses droits. Lancée depuis quelques jours, cette pétition, #JusticeForRocky connaît un succès grandissant. Le nombre de signatures ne cesse d’augmenter. Il s’établissait ce soir à 20 H 00 à plus de 515 000....

Aux Etats-Unis, la détention d’ASAP Rocky a été très médiatisée. Le site Rmz a fait de révélations sur ses conditions de détention qui semblent avoir touché beaucoup de monde. Tmz a notamment affirmé qu’ASAP Rocky était enfermé dans une pièce sans lit, munie d'un seul tapis de sol pour dormir. Ses repas seraient immangeables. De plus, il serait obligé de cohabiter avec un détenu atteint de troubles mentaux qui passerait son temps à se taper la tête contre les parois de sa cellule et à jeter ses excréments… Ces affirmations ont été en partie confirmées par un responsable du consulat des Etats-Unis. Dans un premier temps, ce dernier s’était d’ailleurs vu refusé l’accès à la prison.