Koba LaD en clash avec un photographe

12 février 2020 à 18h35 par Bertrand Loppin

Koba LaD s'en est pris violemment à un photographe qui l'a interpelle pour l'utilisation de photos non créditées. Choquée par les propos du rappeur, la youtubeuse Shérazade est intervenue pour prendre la défense du photographe.

BLACKBOX
Kobe LaD a insulté un photographe qui demandait à être crédité pour ses clichés.
Crédit : Capture d'écran YouTube - Clip « La C »

Parfois, il suffit d’une simple petite photo pour déclencher un ouragan. Une nouvelle fois, les réseaux sociaux nous donne l’occasion de vivre une belle embrouille partie de pas grand chose. L’affaire a débuté lors d’une soirée à laquelle assistait un photographe prénommé Iyad. Ce dernier a pris différents clichés sur lesquels apparait Kob LaD. Ce dernier a repris ses photos pour les poster sur son compte intagram, mais il n’a pas crédité le photographe. Iyad a alors posté un commentaire lui rappelant de ne pas oublier de le citer. 

Koba LaD a ensuite reposter ces mêmes photos sur son compte Twitter, toujours nbon créditées. Iyad s’est alors permis de i’nterpeller publiquement pour lui demander de l’identifier sur ses photos. Il semblerait que Koba LaD est très mal pris ce dernier rappel à l’ordre. La réponse ne s’est pas faite attendre : « Ferme ta gueule frère, pourquoi tu me le dis pas en privé, t’es la tu veux faire des buzz sur Twitter, nique ta mère, je t’identifie pas, enculé va ». Par la suite ce message  a été supprimé.

 

Mais l’affaire n’est pas pour autant terminée. La youtubeuse Shérazade s’est invitée dans la discussion pour prendre la défende de Iyad en postant une série de Tweets. Elle a également publié une vidéo pour expliquer les raisons de son intervention dans cette affaire. « Je suis investie dans cette histoire pour une raison qui m’importe énormément. Les gens qui ont des métiers dits dans l’ombre n’ont pas assez de reconnaissance, surtout en France […] C’est super important qu’on en discute parce que tout ce qui est photographe, monteur, graphiste, beatmaker, cadreur, toutes les équipes techniques sont jamais crédités à leur juste valeur. C’est un métier difficile ».