Beyoncé est accusée de harcèlement !

28 novembre 2017 à 13h00 par Aurélie AMCN

Beyoncé est furieuse contre une marque de produits dérivés utilisant son surnom "Yoncé". Après avoir porté plainte, la voici désormais accusée de harcèlement. On vous explique tout.

BLACKBOX
Crédit : Beyonce Officiel

Beyoncé voit rouge. Ce mardi, la diva a décidé d’attaquer en justice une entreprise du Texas baptisée « Feyoncé ». Queen B estime en effet que cette société a enfreint la loi en s’appropriant le surnom « Yoncé » ; un surnom que Beyoncé a déposé il y a déjà plusieurs années. Et pour cause, sur les produits dérivés commercialisés par cette marque texane, on retrouve, entre autres, la mention « Feyoncé : He Put A Ring On It », un jeu de mots voulant dire « Fiancée : il m’a mis la bague au doigt ». Il s’agit en réalité d’une référence au titre Single Ladies de Beyoncé dans lequel elle chante justement à son ex-petit ami de lui glisser la bague au doigt s’il souhaite la reconquérir. 

Ainsi, furieuse de voir l’une de ses emblématiques phrases reprises par une marque, Beyoncé réclame donc des dommages et intérêts. Une procédure que semble pourtant ignorer la marque basée dans la ville de San Antonio. Selon les informations de l’agence de presse Reuters, les entrepreneurs texans démentent les accusations de Beyoncé et accusent même la star de harcèlement. Ils affirment que cette dernière est « une brute » et que ses produits de merchandising sont réservés exclusivement à une certaine clientèle aisée. Aussi, d’après nos confrères américains, la société « Feyoncé » refuse de céder aux menaces de Beyoncé sous prétexte qu’elle est riche et célèbre… 

Beyoncé vient d’être sacrée la chanteuse ayant gagné le plus d’argent au cours de l’année 2017 : 105 millions de dollars selon le magazine Forbes, juste devant les chanteuses Adèle (69 millions) et Taylor Swift (44 millions). De plus, le couple qu’elle forme avec le rappeur-producteur Jay Z demeure le couple le plus puissant de l’industrie musicale. De quoi donner visiblement envie à certains d’avoir leur part du gâteau…